Travailler avec l’IA : bonne ou mauvaise idée ?

Aujourd’hui, nous parlerons uniquement d’ANI (Intelligence artificielle étroite ou faible) qui est une gamme limitée de capacité pour une IA et la seule à ce jour réalisée. 

Son utilisation est fortement appréciée, car elle n’a pas d’émotions, pas de changement d’humeur, elle ne ressent ni la fatigue, ni la pression. Elle peut donc prendre le relais là où l’humain est affaibli.  

Toutes les technologies autonomes telles que la domotique, l’internet, les appareils électroménagers s’apparentent dans une certaine mesure à l’IA en nous permettant de reproduire nos tâches quotidiennes en une simple commande ou de faire des recherches à notre place en un temps record. 

Tout est chamboulé dans notre quotidien par la technologie qui évolue à vitesse grand V. 

Les métiers managériaux impliquent de créer, innover et se réinventer : ce sont nos objectifs communs en 2023.  

L’IA est un vrai levier de transformation aujourd’hui et l’ignorer serait certainement une erreur. Nous n’avons jamais assez de temps, jamais assez de moyens et en parallèle certaines IA nous offrent ce pouvoir de productivité.  

Cependant, n’oubliez pas que la délégation mène parfois à la perte de compétences aux dépens d’un robot qui se nourrit de vos connaissances. Se pose alors la problématique de la protection des données : ne jamais saisir des données privées.

Modérer le recours à l’IA est aussi important que de l’utiliser, c’est la raison pour laquelle son usage doit être contrôlée.  

Dans le milieu de la formation, l’IA peut être utilisée par exemple lors de mises en situation, pour que l’apprenant s’entraîne à s’améliorer, à faire face à ses réactions ou à améliorer son comportement face aux autres.  

L’IA peut aussi revenir à son utilité primaire d’expérimentation dans les situations inconnues pour l’apprenant.  

L’apprenant peut ainsi s’entraîner sans risque, à améliorer ses pratiques.